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Consonantisme
Les critères de distinction • Sur le plan articulatoire: les consonnes sont • • produites à l’aide d’un obstacle ou d’un rétrécissement dans le canal buccal Sur le plan acoustique: toute consonne est un bruit auquel peut s’ajouter un ton musical Sur le plan phonématique: les consonnes ne possèdent pas la faculté de former les syllabes, elles se groupent toujours autour des voyelles.
Les traits qualitatifs • Du point de vue physiologique, les • • consonnes sont classées d’après: Le mode d’articulation Le point d’articulation La présence ou l’absence de la voix La prédominance des bruits ou du ton musical
Caractéristique générale • La plupart des consonnes sont formées • dans la partie antérieure de la bouche, 17 sur 20. Les exceptions: [k], [g] sont postlinguales, [r] est uvulaire ou postlinguale
• L’opposition « consonnes sourdes-consonnes • • • sonores » est d’une grande importance pour les consonnes françaises. Elle se manifeste dans toutes les positions. Cette opposition n’affecte que les consonnes bruits. Elle est accompagné par opposition « consonnes fortes – consonnes douces » • Honte - onde
• À la différence du russe, toutes les consonnes françaises sont dures excepté [k], [g] devant les voyelles de la série d’avant: c. Amarade, g. Arçon
La classification des consonnes • D’après la classification acoustique • elles se divisent en bruits [p, b, t, d, k, etc] et sonantes [l, m, n, w, etc]. À leur tour, les consonnes bruits constituen deux classes de sons: sourdes (fortes) [p, t, k, f, etc] et sonores (douces) [b, d, g, v, etc].
D’après le mode d’articulation on a fondé le classement des consonnes en: • Occlusives [p, b, t, d, etc] • Constrictives [f, v, s, z, etc] • Vibrante [r]
D’après le point d’articulation les consonnes se classent en: • Bilabiales [p, b, m, etc] • Dentilabiales [f, v] • Prélinguales [t, d, s, etc] • Médiolinguales [j, etc] • Postlinguales [k, g] • Uvulaire [r]
Consonnes occlusives (bruits et sonantes)
L’opposition consonne sourde – consonne sonore 1. Cette opposition affecte parmi les occlusives [p - b], [k - g], [t - d], les nasales [m, n, ɲ] appartenant aux sonantes, consonnes sonores par excellence: • À l’initiale: pan – banc • À l’intérieur: apporter – aborder 2. L’utilisation fréquente de cette opposition à la fin des mots: coupe – cube
L’opposition consonne orale – consonne nasale 1. A d’une grande importance pour les occlusives dans la série des sonores; 2. Toutes les sonantes occlusives étant des consonnes nasales [m, n, ɲ]; 3. L’air passe en partie par la cavité nasale, l’occlusion peut durer un certain temps et la consonne peut être prolongée
4. Opposition phonologique entre le [b] – consonne occlusive bilabiale sonore orale et le [m] – consonne occlusive bilabiale sonore nasale PE: beau – mot; scribe – escrime 5. Opposition phonologique entre le [d] – consonne occlusive prélinguale sonore orale et le [n] – consonne occlusive prélinguale sonore nasale PE: dot – note; raide – reine Remarque: cette opposition n’existe pas pour la consonne postlinguale [g] qui n’a pas d’équivalent nasale
6. [ɲ] - est la troisième occlusive nasale; - est une consonne médio-linguale; - l’occlusion se fait entre la partie médiane du dos de la langue et le milieu de la voûte palatine;
• Les consonnes nasales du francais ont ceci de particulier qu’elles ne se trouvent pas dans un mot devant une autre consonne, en raison de la chute des consonnes nasales en syllabe fermée à la fin du moyen âge; • Dans le style parlé et moins souvent dans le language soutenu , les groupes «consonne nasale+consonne» peuvent se former à l’interieurr du mot, à la suite de la chute du «e» instable le plus souvent devant les suffixes PE: raisonn(e)ment, am(e)ner
D’après le point d’articulation • Les bilabiales • Les prélinguales • Les postlinguales • La médio-linguale
Les bilabiales • [p, b, m] • ce sont les deux lèvres qui forment l’occlusion Les prélinguales • [t, d, n] • la partie antérieure de la langue s’appuie fortement contre les alvéoles dents supérieures
Les postlinguales La médio-linguale • [g, k] • vu le rôle passif du voile du palais, la partie postérieure de la langue, s’élevant vers le palais mou, s’appuie contre celui-ci • [ ɲ] • Le dos de la langue (sa partie médiane) s’appuie contre la voûte palatine, le bout de la langue touche les alvéoles dents inférieures.
Consonnes constrictives
Consonnes constrictives bruits • Les consonnes constrictives se forment • • • dans la partie antérieure de la bouche. La plus grande partie sont prélinguales [s, z, etc] L’opposition sourde-sonore affecte les consonnes bruits [f-v], [s-z]. On l’utilise dans n’importe quelle position.
• Parmi les consonnes constrictives bruits on trouve deux consonnes dentilabiales [f-v] et deux paires des consonnes prélinguales [s-z], etc. • [f-v] s’imploient ou début, à la fin et à l’intérieur du mot. • Les deux paires sont prélinguales et on les nomme sifflantes et chuintantes.
Consonnes constrictives sonantes • [l] – latérale • Elle est à l’initiale, à l’intérieur et à la • • finale (lit, saler, bal). La consonne constrictive médio-linguale [j] en sa qualité de sonante est constituée du ton musical et d’un bruit. À la fin du mot elle est toujour sonore - paille
Durée des consonnes • La consonne sourde est olus longue que la consonne sonore • Dans certaines conditions, la consonne est susceptible de devebir 2 ou 3 fois plus longue qu’elle ne l’est d’ordinaire; c’est le cas des consonnes frappées de l’accent d’incistance (emphatique) PE: m: isérable! m: agnifique!
• Il ne faut jamais confondre une consonne longue (à tenue unique) avec une consonne géminée (la combination de 2 consonnes identiques) • À part la gémination du [r] au futur et au conditionnel des verbes mourir, courir, quérir (mourrait, courrait etc. ), les géminées sont dues à la chute d’un e instable à l’interieur d’un mot (nett(e)té, désir(e)rait etc. ) ou à la rencontre de 2 mots dans la chaîne parlée PE: Il l’a vu, grande bette.
• La gémination se manifeste à la frontiére des morphèmes (netteté) et des mots dans la phrase (grande bette) • Dans les mots savants prononcés souvent avec une géminée par les speakers à la radio, la gémination est due à l’influence de la grapchie (irréel, collectif, illusion etc. )
Conclusion
• À l’exeption du [ɲ] totutes les consonnes su schéma [ s’opposent les unes aux autres en position initiale devant le [a]
• Les oppositions phonématiques parmi les consonnes • • • sont moins générales que parmi les voyelles; L’opposition «sourde – sonore» se manifeste seulement parmi les consonnes bruits; L’opposition «orale – nasale» frappe seulement les occlusives; L’opposition «consonne simple – consonne géminée» se manifeste dans certains cas spéciaux à l’intérieur du mot et dans la phrase; elle oppose non pas un phonème à un autre, mais un phonème à un groupe de 2 phonèmes, appelé un phonème double PE: caler – calmer, parer – parler, il part avec lui – il part seul